Afin de sauver le fragile équilibre climatique de notre biosphère, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) préconise de réduire drastiquement les émissions de carbone, et ainsi limiter le réchauffement de deux degrés à l’horizon 2050.
De nombreux acteurs proposent une transition énergétique tablant, entre autres, sur une production d’électricité décarbonée dont les énergies renouvelables seraient le vecteur, au détriment des énergies fossiles, mais aussi du nucléaire. Pourtant, la réalité s’avère bien plus complexe.