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[Valeurs Actuelles] Pourquoi il faut préserver l’alliance franco-marocaine

Depuis 2021, les relations diplomatiques entre la France et le Maroc se sont dégradées. Le gouvernement d’Emmanuel Macron semble préférer un rapprochement avec l’Algérie, rivale du royaume chérifien. Les intérêts de la France imposeraient pourtant de resserrer le partenariat stratégique avec Rabat, grâce à des actes forts, affirme Pierre d’Herbès, consultant en intelligence économique.

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[revue Conflits] Face à la contamination djihadiste : comment le Bénin muscle son système immunitaire ?

Le 26 juin, une nouvelle attaque terroriste frappe le nord du Bénin. Avec plus de vingt attaques depuis la fin de l’année 2021, la volonté de pénétration djihadiste dans le pays se précise. Le contexte ethnique et social tendu des régions du nord leur offre un terreau potentiellement fertile. En réponse, l’État béninois déploie une stratégie destinée à contenir militairement la menace. Mais sans négliger les enjeux ethno-politiques qui caractérisent son septentrion. 

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[l’Incorrect] Rafales sur l’Indonésie

Le 9 février, l’Indonésie commandait officiellement 42 Rafales à la France pour un montant de 8,1 milliards d’euros. Cette acquisition majeure reflète la solidité du partenariat de défense entre Paris et Jakarta. Elle s’assortit de deux sous-marins Scorpène de Naval-Group et d’un satellite. Malgré le revers d’AUKUS, en octobre 2021, la stratégie indopacifique de la France semble loin d’être enterrée.

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[Le Temps] Burkina-Faso : un verrou stratégique qui pourrait sauter

Déjà affaibli par la révolte civile de 2014, l’État Burkinabé pourrait ressortir encore plus fragilisé du coup d’état de janvier 2022. Une donne qui, in fine, profitera directement aux groupes armés terroristes. Leur dynamique de métastase vers le golfe de Guinée s’en trouverait directement renforcée.

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[Jeune Afrique] RDC : pour vaincre le terrorisme, l’armée doit changer en profondeur

La région des Grands lacs est traversée par de féroces antagonismes ethniques. Les affrontements et opérations d’influence menées par le Rwanda, le Burundi et l’Ouganda ont largement contribué à la situation actuelle. L’ensemble de ces conflits sont en effet alimentés non seulement par les différends fonciers, mais aussi par la volonté de maîtriser les abondantes ressources minières ou agricoles régionales. C’est dans ce contexte que le risque terroriste jihadiste semble s’affirmer, porté par les Forces démocratiques alliées (AFD), un groupe armé adoubé en 2018 par l’État islamique (EI).

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[l’Incorrect] Des ailes et des helvètes

Le choix fait par le Conseil Fédéral, du aet des batteries de MIM-104 Patriot, le 30 juin, a surpris en Europe et surtout en France, qui entendait vendre son Rafale. Cette décision, aux allures d’alignement atlantique, semble en effet être en contradiction avec la politique de neutralité de la Confédération helvétique. En plus de constituer un non-sens doctrinal et opérationnel pour l’armée suisse

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[Mondafrique] Le « verrou tchadien » face au terrorisme

La mort du président Idriss Déby et la reconfiguration de la stratégie française dans le Sahel ont mis à l’épreuve la solidité du Tchad, allié incontournable de la France dans la région. Pourtant le régime de transition semble rester solide.

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[Contrepoints] Entretien – Mali : « l’opération Barkhane a rempli son mandat »

Contrairement à ce qui a pu souvent être dit, l’opération Barkhane ne va pas disparaître mais plutôt se transformer. L’effectif des forces devrait se réduire d’environ 40 % afin d’être ramené de 5100 à 2500/3000 hommes : soit un peu moins que l’effectif originel (2013). Précisons également que les forces aériennes ne diminueront pas. Seules les forces terrestres stationnées au Mali devraient subir des coupes avec la fermeture de plusieurs bases (Kidal, Tessalit, Tombouctou).

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[Le Temps] Haut-Karabagh : le retour de la [vraie] guerre ? Partie II : Aspects diplomatiques

Comme vu précédemment, La guerre du Haut-Karabagh est un marqueur du retour des conflits de haute-intensité. Une typologie de conflits auxquels l’occident, après 30 ans de domination militaire globale, n’est plus préparé. Le retour de ce type de conflictualité est notamment le fait des nouveaux Etats-puissances (Russie, Chine, Turquie…), qui remettent en cause l’ordre du monde post-guerre froide. Dés lors, l’occident, militairement mal préparé, peut donc être politiquement contesté. Le risque de déclassement géopolitique est donc réel, surtout en Europe.

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[Le Temps] Haut-Karabagh : le retour de la [vraie] guerre ? Partie 1 : Aspects militaires

Conséquence prévisible de près de 30 ans d’affrontements larvés, la guerre du Haut-Karabagh (2020) a marqué par sa nature de « haute-intensité ». L’Europe, peu habituée à la réalité de la guerre, a vécu cet affrontement comme un basculement aussi bien militaire que diplomatique. Comme le démontre la publication d’un rapport du Sénat français, sur le conflit, le 7 juillet 2021.