Comme vu précédemment, La guerre du Haut-Karabagh est un marqueur du retour des conflits de haute-intensité. Une typologie de conflits auxquels l’occident, après 30 ans de domination militaire globale, n’est plus préparé. Le retour de ce type de conflictualité est notamment le fait des nouveaux Etats-puissances (Russie, Chine, Turquie…), qui remettent en cause l’ordre du monde post-guerre froide. Dés lors, l’occident, militairement mal préparé, peut donc être politiquement contesté. Le risque de déclassement géopolitique est donc réel, surtout en Europe.